Parce que ce n’est pas un film
3 février 2016
Si c’était un film, je me rendrais chez toi vers minuit, je prendrais un livre, je m’assiérais sur le pas de ta porte, m’endormirais vers deux heures. A ton retour, vers trois heures, tu me caresserais la joue pour me réveiller, me demanderais ce que je fais là d’une voix douce, je clignerais des yeux, ensoleillée, mon cœur se ferait tambour. Tu m’aiderais à me relever, je m’adosserais au mur,…