Parce que Berlin n’est pas plus safe
10 février 2014
(Dimanche) 7 h. Enfoncée dans le canapé du Gate, je ferme les yeux. Je hoche la tête, ma jambe s’agite, le rythme, la musique, et impossible d’oublier. 5 h. Sous les carrés lumineux du Gate, je transpire. Je danse depuis trois heures maintenant. Allers-retours dans les escaliers, Mathieu à mes côtés, et impossible d’oublier. 1 h 30. Descente du S-Bahn à Jannowitzbrücke, Mathieu m’attend dehors.