Parce qu’écrire
23 mars 2015
Parce qu’écrire est un terrain glissant, on devrait toujours écrire avec des bras protecteurs dans un coin. Merde, j’ai perdu les miens. Parce qu’écrire est un passage, on devrait toujours avoir quelqu’un qui nous tienne une lanterne, au cas où. Mais je suis dans le noir.